203 private links
1,02 pétabit par seconde: le record de transfert de données par fibre optique a été explosé | korii.
1,01 Pb/s avait déjà été atteint en décembre 2020. Le record ici provient "des méthodes qui semblent beaucoup plus simples à adapter aux réseaux existants".
*de l'architecture
Maintenant en redressement judiciaire (https://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/1508391-sigfox-place-en-redressement-judiciaire/). Dommage car le service proposé semble incroyablement utile pour l'IoT. Et peu cher (à partir de 3€ par an), donc accessible.
Ok :) On top of HTTP, the model is actually simple.
Les problèmes gris sont des problèmes qui ne sont pas binaires: il y a bien le fonctionnement binaire (ça fonctionne ou ça ne fonctionne pas), mais aussi parfois où cela marche, mais pas tout le temps.
Par exemple,
Dans la discussion sur NANOG, un ingénieur citait un cas qu'il avait rencontré où une line card défaillante jetait tous les paquets IPv6 où le 65e bit de l'adresse de destination était à 1 (ce qui est apparemment assez rare).
Pour donner une idée de la subtilité des problèmes gris, un participant à NANOG citait un cas d'un commutateur qui perdait 0,00012 % des paquets, un nombre difficile à repérer au milieu des erreurs de mesure. Le problème avait été détecté lors du remplacement des anciens tests par des tests plus violents.
Un protocole qui a l'air simple, et pourtant bien pratique d'après l'exemple.
Volontairement introduite, et qui est passé sous le nez de tout le monde depuis ce temps. Elle n'est cependant plus d'actualité car l*algorithme GEA-1 n'est plus utilisé.
+1 pour la postérité
Le canal de données WebRTC est une modélisation d'un tuyau virtuel entre les deux parties qui communiquent, tuyau dans lequel circuleront les données.
Le multimédia, lui, passe via SRTP, les données nécessitant une plus grande fiabilité passent par SCTP lui-même transporté sur DTLS (RFC 6347) lui même sur UDP.
Test the connection through WebRTC and identify the eventuals problems
Ce RFC décrit les généralités sur WebRTC.
Comme WebRTC laisse beaucoup de libertés pour implémenter les communications audio et vidéo entre deux navigateurs, ce RFC indique les bonnes pratiques à utiliser: lorsqu'il y a un serveur central, lors de fédération(s) de plusieurs serveurs de communication; les conditions d'accès à la caméra et au microphone; le consentement entre les pairs communicants; etc...
Il part du principe que le navigateur est un outil de confiance.
On comment dire que la machine souhaite uniquement utiliser une adresse IPv6 et laisser les IPv4 pour les machine qui en ont besoin.
Il s'agit d'une option qui vient s'ajouter au protocole DHCP existant, donc aucune modification n'est nécéssaire pour les machines actuelles, c'est que du bonus pour économiser des IPv4 👍
A simple binary