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and in some, it make sense.
The error was to think every data given to a GAFAM is here forever.
un règlement record de 391,5 millions de dollars à une coalition de procureurs généraux de 40 États pour des accusations selon lesquelles la société aurait trompé les utilisateurs en leur faisant croire qu'ils avaient désactivé le suivi de localisation dans les paramètres de leur compte, alors même qu'elle continuait à collecter ces informations
Dark patterns 🍿
« Ils nous forcent essentiellement à passer à quelque chose de payant après nous avoir rendus dépendants de ce service gratuit », a déclaré Dalton, qui a d'abord mis en place un e-mail professionnel Google pour son entreprise, Your Score Booster, en 2008.
Tout les libristes sont surpris #ironies
« Est-il possible de paramétrer l’outil Google Analytics de façon à ne pas transférer de données personnelles hors de l’Union européenne ? »
Réponse de la CNIL : « Non. »
« Un récente étude estime qu'en Europe, nous sommes géolocalisés plusieurs centaines de fois par jour. Un chiffre inquiétant, mais largement en dessous des résultats américains. »
En moyenne, l’oncle Sam a droit à 747 requêtes RTB [real-time bidding] liées à la géolocalisation chaque jour, soit un peu plus d’une fois toutes les deux minutes.
Surtout qu’il [le RTB] n’est pas anodin : une fois croisé, l’ensemble des données récoltées peut avoir un impact significatif sur l’internaute, qui est alors plus apte à cliquer sur une offre promotionnelle en rapport avec ses intérêts et son quotidien.
Une bonne action !
Reminder: Google is not a search company but a tracking one.
"I don’t care if they make money off me since the service they provide is so good."
Counter-arguments:
Google doesn’t want you to learn and grow: it wants you to keep on clicking. It’s embedded in their design.
It creates an Internet bubble for each user:
This sort of curation has spread all across the internet, creating bubbles of single individuals and an illusion of connectivity rather than actual empathy, compassion and connection to the world.
This sort of curation has spread all across the internet, creating bubbles of single individuals and an illusion of connectivity rather than actual empathy, compassion and connection to the world.
If almost literally everyone uses Google, then any project, person or company that wants to succeed must abide to Google’s rules.
From Yuval Harari writer in sapiens:
“One key rule is that if you get my data, the data should be used to help me and not to manipulate me. Another key rule, that whenever you increase surveillance of individuals you should simultaneously increase surveillance of the corporation and governments and the people at the top. And the third principle is that — never allow all the data to be concentrated in one place. That’s the recipe for a dictatorship.”
Un exemple
Le crawler naturel n'index pas certains sites ou pages
MAIS on peut utiliser leur API pour se faire indexer son site ET là, eh bien le site est indexé...
Il s'agirait donc bien soit d'un bug du moteur et de ses robots, soit d'une faille dans son système de crawl, l'empêchant de crawler de façon propre et efficace les sites web, notamment récents.
Ainsi que des constats:
- Google doit être au courant
- peut être qu'un filtre est en place en pouvant indexer uniquement le contenu de qualité, mais celui-ci fonctionne encore mal
- il faut obtenir un lien depuis un site "trusté" pour se faire indexer sa page web
- Google tente de créer des pare-feux pour contrer la potentielle invasion des contenus de spam rédigés de facon automatique par des algos type GPT-3.
If the restaurant has a relationship with the food delivery company, it gets charged a fee. These fees can be so high—15 to 30 percent in many cases—that the restaurant has no hope of making a profit from the order. “A restaurant's motivation to partner with a Delivery Provider is almost never to make a profit on orders received from the Delivery Provider,” the complaint says. “Rather, a restaurant’s usual goal is to capture new customers that may later place orders with the restaurant outside of the Delivery Providers’ expensive platforms.”
But Google didn't ask: they just added a "Order online" button. They decided which delivery provider will be in charge of the delivery and they didn't ask the restaurant.
Google Analytics n'est pas compatible avec le RGPD, puisque les données sont transférées aux États-Unis. Cette publication de la CNIL fait sûrement suite à la décision d'un tribunal allemand
La CNIL estime que ces transferts sont illégaux et impose à un gestionnaire du site web français de se conformer au RGPD et, si nécessaire, de ne plus utiliser cet outil dans les conditions actuelles.
Un tribunal régional de Munich, en Allemagne, a condamné un opérateur de site Web à payer 100 euros de dommages et intérêts pour avoir transféré les données personnelles d'un utilisateur - en l'occurrence, son adresse IP - à Google via la bibliothèque de polices du géant de la recherche sans le consentement de la personne concernée. Le tribunal a déclaré que le site n'avait aucune raison légitime de partager l'adresse IP de la victime, concluant que cette divulgation est en violation du règlement général européen sur la protection des données (RGPD), entrée en vigueur le 25 mai 2018.
💥
So using Google Fonts is... not privacy friendly anymore !
Une jurisprudence intéressante: Une cours allemande considère que les sites qui utilisent GoogleFonts permettent à Google de collecter les adresses IP des visiteurs sans leur consentement (et c'est vrai), ce qui est en infraction directe avec le RGPD (et c'est vrai aussi).
En outre, le jugement stipule que tout site visiteur est en droit de demander une compensation de 100€ au site visité.
(source: https://rewis.io/urteile/urteil/lhm-20-01-2022-3-o-1749320/)
Je trouve ça extrêmement drôle !EDIT: Et du coup, les sites qui utilisent CloudFlare, on fait comment ? (Parce que CloudFlare est aussi américain, et il collecte aussi la totalité des adresses IP des visiteurs.)
floc has been blocked by a majority of services (framework such as sveltekit, ....). So Google comes back with a new one.
Topics looks better.
The operation appears simpler than FLoC. First, the browser collects the interests for the week. It stores the information locally for the last three weeks. It is not communicated to any server and is deleted after this period.
When the person visits a site, it can draw from the local pool. Only one interest per week, for a maximum of three. Via Topics, a site would not go any further.
A list of Google possible actions that are harmful to society
How to disappear from Google searches:
<meta name="googlebot" content="noindex">
TL;DR;
Google chooses itself what is the title of a webpage.
Mais si Google peut éviter de payer des impôts en France... autant le faire. En revanche traquer les mauvais payeur, ça oui !
Google, comme tous les GAFAM et BATX ne sont intéressés que par une seule chose: eux-même et leur propres intérêts. Si ils agissent dans l'intérêt d'autrui, ce n'est que pour leur propre intérêt en retour.
En voici un autre exemple.
Namely, that Google was paying Verizon and other major wireless companies a big chunk of money to not compete with the Android marketplace. And they were paying smartphone manufacturers to ship devices without competing app stores installed.