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La ministre des affaires numériques danoises
Cette réalité, c'est que toutes les administrations américaines ont le pouvoir de déconnecter n'importe quel individu, entreprise ou gouvernement étranger de l'infrastructure numérique fournie par les grandes entreprises américaines. En ce sens, il est donc inutile de blâmer Microsoft pour le pouvoir de sanction dont est investi le Bureau ovale. Mais nous pouvons certainement lui reprocher d'avoir enfumé l'Europe sur les risques.
Cela ne signifie pas qu'il faille se couper de toute technologie américaine, mais cela signifie qu'il faut rejeter tous les services qui peuvent être désactivés à partir de Washington.
Cela intervient avec la mise à jour forcée de Windows 10 vers 11 avec la fin de sa maintenance.
Ce logiciel libre semble recommandé
(via https://piaille.fr/@CelianGodefroid/114726889499043422)
Un article pour vulgariser le sujet. Les termes open-source et logiciel libre sont mélangés, mais cela fait du bien d'avoir un point de référence dans un journal grand public.
Trouver du logiciel, outil ou matériel libre
Découverte d'alternatives libres et d'outils de protection contre le pistage facile à installer.
Gimp 3.0 on its way!
The interface is reworked, icons are now updated and compatible with HiDPI screens (through vectorial images).
The color handling is reworked from the ground up.
The public API is now stable and documented.
The filters are not desctrutible anymore.
Support of BMP 64 bits and TIFF files.
New Filters: Inner Flow, Bevel and GEGL styles.
More translations.
See GIMP 3.0 RC 1 post: https://www.gimp.org/news/2024/11/06/gimp-3-0-RC1-released/
(via Korben https://korben.info/gimp-3-0-rc1-nouvelle-interface-et-fonctionnalites-avancees.html)
Le département genevois de l’instruction publique se base sur des logiciels libres. Voilà.
Les élèves auront toujours la possibilité, une fois qu’ils auront quitté les bancs de l’école, d’opter pour le confort des logiciels propriétaires. Mais au moins le feront-ils avec une conscience plus aiguë des enjeux.
Une alternative à Google Maps
Il y a une forme de violence à dire — de manière plus ou moins directe — à des personnes que les outils numériques qu’elles utilisent ne sont pas appropriés. D’autant plus en ne proposant pas d’alternative réellement utilisable :
- dans le contexte de littératie numérique de la personne,
- dans le contexte culturel du groupe de travail autour de la personne,
- dans les priorités actuelles du groupe pour lequel l’informatique reste un outil et/ou
- dans la situation de détresse en cours.
Si la ré-action est inappropriée, c’est peut-être que l’action initiale ne l’était pas non plus…
Re-implement this in OSS and MIT licence.
Those two nonfree programs have something else in common: they are both malware. That is, both have functionalities designed to mistreat the user.
If you use a program to carry out activities in your life, your freedom depends on your having control over the program.
Nonfree software was the first way for companies to take control of people's computing. Nowadays, there is another way, called Service as a Software Substitute, or SaaSS. That means letting someone else's server do your own computing tasks.
In some cases, nonfree software causes indirect harm (secondary injustice): it puts pressure directly on others to use this software (Teams, Skype, Zoom, ...), it encourages to develop the non-free software further. All the forms of indirect harm are magnified when the user is a public entity or a school.
Public agencies exist for the people, not for themselves. When they do computing, they do it for the people. They have a duty to maintain full control over that computing so that they can assure it is done properly for the people.