8471 shaares
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Même avec un pseudonyme, les forces de l'ordre peuvent retrouver la personne derrière.
Mais ils ont en grande partie contesté avoir su que l'adolescente était la victime d'un harcèlement en ligne, et ainsi leur participation à un "raid" numérique. Pour le représentant du ministère public, les prévenus ne pouvaient l'ignorer, dix mois après une première vidéo de Mila devenue virale et le déferlement de haine qui s'en était suivi.