200 private links
Des représentants de Google ont ainsi admis que Google Assistant pouvait parfois "écouter" mais surtout enregistrer des bribes de conversations des utilisateurs à leur insu.
Google tente alors de se défendre en indiquant que les écoutes portent toutes sur des conversations générales et qu'aucun contenu sensible n'a été enregistré. La question qui se pose est : comment la marque peut-elle s'en assurer ? Cette précision jette également le doute sur l'accès de Google à ce type d'écoutes. Par ailleurs, ce retournement de veste risque de mal passer auprès de l'administration américaine auprès de laquelle Google avec certifié sur l'honneur que son assistant n'enregistrait pas les conversations sans avoir été activé...
La situation étant désormais établie, l'assistant de Google pourrait constituer une violation de la vie privée et être sanctionné dans plusieurs pays à travers le monde.