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« ce que les jeunes font, mais ce qu’ils ne font plus » depuis le début des années 2010 : « Ils sortent moins [qu’avant], ne jouent pas avec leurs amis, n’interagissent pas avec les autres […] Ce qu’il se passe est vraiment grave, et ce n’est pas juste lié au Covid. [Le phénomène] avait commencé avant, et il s’est prolongé après 2020 », expose-t-il au quotidien britannique The Guardian.
Dans le détail, l’étude met notamment en évidence l’essor des smartphones et des réseaux sociaux, mais aussi celui des « inégalités intergénérationnelles » sur le plan de l’accès à l’emploi et de l’urgence climatique.
Sans compter les conséquences sociales et économiques de cette dégradation, qui pourrait, à terme, « avoir un impact sur les résultats scolaires et la productivité mondiale » met en garde David Blanchflower, qui précise que l’ONU a d’ores et déjà commandé des recherches supplémentaires pour déterminer si le phénomène pouvait être observé ailleurs dans le monde.