234 private links
La bonne réaction, c'est de faire attention, de reconnaître que si vous devez utiliser Google, Facebook, toutes ces technologies qui travaillent contre vous, ce n'est pas par choix, que vous n'exprimez pas un consentement éclairé, même si vous cliquez sur le bouton "je suis d'accord", celui sur lequel vous devez cliquer pour vous inscrire à un service. Ce sont des documents de 600 pages, personne ne peut les lire, personne ne les lit jamais. Et eux, ils peuvent changer ce document. Donc tout ceci n'est pas un consentement : c'est une excuse. Il y a des dynamiques qu'il faut combattre. Ce qu'il faut changer, c'est pas une entreprise, un téléphone, un logiciel : c'est le système. Et ça doit se produire à tous les niveaux : social, commercial, et juridique."
Le premier ministre utilise WhatsApp pour communiquer avec ses ministres facepalm