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When you are rich—
—you are grateful.
—you are generous.
—you share your wealth.
—you use your wealth to benefit everyone.
—you take more responsibility, the more you own (“own”).
—you don’t exploit people you’re responsible for and you don’t exploit people you’re not responsible for.
—you don’t use your wealth against someone who isn’t as wealthy.
—you happily pay your taxes.
—you support taxes on wealth.
—you lead by example.
—you support the poor, the sick, the needy, the uneducated, the unfortunate, everyone whom you can help.
—you invest in the public good, in education, in health, in infrastructure, in food security, in sustainability, with no vain or selfish expectation.
—you work to make sure there’s better income and wealth distribution (and less income and wealth inequality).
—you look for more ways to take responsibility and raise everyone’s quality of life.
Qu'est-ce qui pousse notre désir de voyager?
La raison la plus évidente a priori est celle qui a trait à la « pulsion scopique », c’est-à-dire au désir d’aller voir le monde par soi-même, de prendre ses propres photos et d’éprouver soi-même un autre lieu.
Fin du voyage?
- Lorsque tout a été exploré (comprendre cartographier)
- La fin de l'exotisme: tout peut être amené aux populations avec notre organisation mondialisée
- Maintenant, l'épuisement des ressources
95% des touristes visitent moins de 5% de la planète (source: https://www.entreprises.gouv.fr)
L’autre risque, c’est que la logique des « beaux paysages » se substitue à la découverte de l’autre, de l’ailleurs. On risquerait alors de perdre la dimension « dépaysement » du voyage à l’étranger – parler une autre langue, se confronter à d’autres mœurs, goûter d’autres plats.
Les solutions « radicales » de ce type me semblent au fond moins choquantes que ce qui risque de se mettre en place si on ne fait rien, à savoir la sélection par l’argent – les plus riches pouvant se permettre des voyages de plus en plus chers à cause de taxes de plus en plus hautes, et les autres laissés sur le carreau.
En philo, «Sommes-nous responsables de l’avenir ?», ça donne que des copies type:
À partir du moment où on se demande ce que ça va donner en photo, alors l’expérience est tuée. La logique dominante devient : est-ce que ça ferait un bon post Instagram ?