L'intérêt de la chaîne de blocs est ailleurs : dans le fait qu'elle est pair-à-pair, que n'importe qui puisse y écrire, et qu'un consensus émerge entre des entités qui ne se font pas mutuellement confiance.
Dans le cas de l'université, seulement une autorité peut y écrire. Aucun autre détail est donné, donc
Une faiblesse courante avec les chaînes de blocs est que peu de gens vérifient directement sur la chaîne, pourtant la seule source fiable. Ils passent en général par un système centralisé.
Si on veut avoir un système en append-only, qu'on utilise la blockchain uniquement pour éviter des modifications, alors Append-only data structures are for you.
Le web 0/1 (hébergé par soi-même sur un serveur) a besoin de temps et de compétence
Le web 2 (plateformes de service) échange la vie privée
The web 3 allows to create content at the condition to insert it in a blockchain, so you have to pay for it first. So it has de facto a first barrier of creation or publication.
So the ones more able to publish will be the ones with money they can spend on it.
This “new internet” that has been proposed, much to the disdain of software engineers worldwide, is one where anytime you upload a photo, save something, post a tweet or put something on YouTube, it costs money. Every time you write something to a blockchain with crypto, you need to pay the miners.
As NFTs can be duplicated, do the buyer spend a million dollars for the monky or for the record on the blockchain?
Anyone can write anything on the blockchain if you’ve paid the miners.
And because the blockchain is append-only, how do you comply with law?