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J'ai passé plusieurs décennies à écrire du C et du C++, voire même un peu d'ASM. Et franchement, je suis admiratif des quelques codeurs "safe".
C'est comme jongler avec des tronçonneuses: ce n'est pas parce-que certain y arrivent qu'il faut en faire une recommandation.
Vous connaissez la différence entre : "Nous accélérons notre préparation" et "Nous rattrapons notre retard" ? Tout est dans l'anticipation. ‒ Thinkerview
I always thought burnout happened when you work too much.
Now I get it. It's investing emotionally and then not getting a return on that investment.
progress in type systems marches inexorably forward, ruling out broader and broader classes of programs as bad. one day, type systems research will achieve the ultimate goal: to conclusively establish that all programs are bad
@lindsey
Le français place le déterminant après le déterminé: «Une tasse à café». En allemand, c’est l’inverse: Eine Kaffeetasse. Si vous appliquez ce principe à la structure de la phrase, vous obtenez une accumulation d’éléments chargés de déterminer quelque chose qui n’est formulé que plus tard. De la part du locuteur, cela demande une discipline de fer. C’est pourquoi les présentateurs des informations télévisées lisent en général leur texte: il est malaisé d’improviser correctement en Hochdeutsch. Par ailleurs, cette structure syntaxique limite la spontanéité de l’échange car elle oblige l’interlocuteur à attendre la fin de la phrase pour savoir de quoi il est question.
L’histoire du Hochdeutsch est compliquée. Elle puise son origine dans la traduction des Evangiles par Luther. On a bien affaire à la grammaticalisation d’un dialecte, mais à l’aide du grec ancien. On peut dire, pour faire court, qu’avant d’être adopté comme langue nationale, le Hochdeutsch a été une langue littéraire, puis administrative, mais pas vraiment parlée.
En allemand Zugehörichkeit contient le verbe hören, entendre: on appartient à un groupe si l’on est capable d’entendre son appel. Le rapport au réel passe par l’ouïe. C’est pourquoi la musique constitue l’une des contributions principales des germanophones à la culture universelle.
Ils ont vraiment, je crois, une plus grande capacité à se projeter vers l’ailleurs. On le voit sur la scène économique mondiale, où ils sont très présents. Pourquoi les industriels français sont-ils si faibles à l’exportation? Ils sont trop bien dans l’«Hexagone», cet espace parfait!
Le francais est compacté, car en un mot, on peut exprimer pleins d'idées différentes: « ardeur » sert à désigner une foule de choses différentes, de l'amour à la haine en passant par le courage au combat.
En venant au fait:
[En mentant le verbe à la fin, la structure] dit que le verbe est essentiel. Elle indique que l’action verbale, élément ultime de la chaîne des déterminations successives, porte l’ensemble de l’énoncé. Par contraste, la phrase latine est conçue à partir du sujet, sur lequel s’appuie le reste de l’énoncé.
Quand je décolle de [ma langue natale] pour aller vers une autre, j’enrichis ma capacité à percevoir de la réalité
Selon Hegel:
S’éloigner est toujours «une petite douleur», comme dit Hegel dans ses récits pédagogiques. Mais il insiste sur les gratifications bien plus grandes, à la fois intellectuelles et affectives, que procure l’expérience du retour.
Quand on colle aux choses, on ne voit rien, seule la distance rend lucide, écrivez-vous: être bilingue, ça rend intelligent?
– Chaque langue portant en elle un reflet du réel, quand je décolle de la mienne pour aller vers une autre, j’enrichis ma capacité à percevoir de la réalité. Je me donne une chance de développer une intelligence réflexive, c’est-à-dire d’aller voir ailleurs et de revenir enrichi de ce que j’ai compris en m’écartant de moi. J’oppose cette attitude au syndrome identitaire, qui est la forme la plus stupide de l’affirmation de soi: on est fier de n’être que ce que l’on est. C’est très appauvrissant.
Concernant le plurilinguisme, il s'agit d'
un privilège auquel tout le monde a droit. Sous prétexte de démocratisation, l’école d’aujourd’hui abaisse son niveau d’exigence et, ce faisant, creuse l’écart social. Elle n’a aucune excuse pour ne pas jouer son rôle, qui est d’arracher les enfants au monolinguisme infantile afin de leur donner accès à d’autres univers mentaux.
I probably spend more CPU cycles optimizing the program than the program optimization will save in CPU cycles. 🤔
• Do what interests you the most.
• Spend time with nature.
• Ask questions.
• Never stop learning.
• Don't pay attention to what others think of you.
• Read everyday.
• Study hard.
• Teach others what you know.
• Make mistakes and learn.
• It's Okay to not know things!
First contribution on @gitpod
merged 🎉
I know, it's "just" on the documentation/website.
Just?
In my point of view, there is no small contribution. Even If you think you're not a 🎸"rockstar"⭐️, don't hesitate to contribute 🙂Using Open Source is good, Donate is better
A better documentation leads to better products leading to better UX or DX ♻️👍
INTRODUCTION
WALTER PLECKER WAS AN ASSHOLE.In the 1920s, he was registrar of Virginia’s Bureau of Vital Sta-
tistics, the state government office that controlled birth, death,
marriage, and divorce records (http://bkaprt.com/eia/o0-01/). As
a frothing-at-the-mouth white supremacist, Plecker was terri-
fied of interracial marriage. Its very existence, he insisted, was
the result of poor categorization: white people were marrying
non-white people only because the government hadn’t labeled
them “correctly.”Plecker decided that he could use bureaucracy to change this,
and he was right: all he had to do was relabel Virginia’s racial
categories, and racist laws took care of the rest. He reduced the
number of racial identity categories to just two, then altered and
enforced documentation to reflect his definitions.This meant that a very small and specific group of people
were labeled white, and everyone who fell outside of Plecker’s
narrow view were not—and their lives changed accordingly.
The government saw them differently, identified them dif-
ferently, treated them differently. They no longer had access
to the same public spaces, the same schools, the same ser-
vices and safety nets afforded to white people. Marriages were
invalidated. Children were separated from parents. Virginians
lost agency over who they were—all because Walter Plecker
changed a label.Changing a label is a design decision—one calculated, in this
case, to disenfranchise specific human beings.Now, most of us don’t have Walter Plecker’s job. We are,
instead, designers, developers, copywriters, strategists. We
work on the web, and we may not think our work carries that
same weight.I'm here to argue that it does. Whatever our role, we are
designers of information. Our choices alter the presentation
and flow of human knowledge. We control how people find,
understand, and use information in every facet of their lives.‘We must be very, very careful.
How designing information can change the lives and the world
Un retour d'expérience sur le développement d'un jeu, 1 an et demi après.
Voici le retour:
Microservices vs. Monolithe n'est pas la question: dans tous les cas, votre soucis le plus immédiat est d’isoler les composants chacun derrière des interfaces publiques clairement définies. Avoir un binaire par tâche ou plusieurs dépend en réalité du nombre de personnes et d'équipes qui travaillent sur le projet.
À voir le projet gRPC afin de faire communiquer les différentes interfaces. Pourquoi gRPC ? Pour générer automatiquement le code d'un service lorsque celui-ci se content d'exposer des méthodes CRUD sur une simple entité dans une base de données SQL.
Qui finalement s'est révélé moins pratique à la longue lorsque les requêtes se sont complexifiées.
Contrairement au dicton qu'il ne faut pas réinventer la roue, certaines valent mieux être réinventée. Ici:
- l'ORM gorm par une bibliothèque plus bas niveau: sqlx
- testify remplacé par rien
Finalement, ce n'est pas une réinvention, mais un débarras de surcouche en complexité.
Le mantra d'E.W. Djikstra:
Are you quite sure that all those bells and whistles, all those wonderful facilities of your so called powerful programming languages, belong to the solution set rather than the problem set?
la maîtrise du problème est beaucoup plus importante que la solution qu’on lui apporte
Concernant les tests: l'auteur recommande le TDD pour développer ce qui est utile uniquement.
Enfin il s'agit surtout de maîtriser le problème afin de parvenir à une excellente solution.
"duplication is far cheaper than the wrong abstraction" applies just as much to teams and process as it does to code.
But also duplication is far more expensive than the right abstraction, and that is a far more common problem
If you see a process problem, solve it in one place first. Then solve it, separately, in another place.
Once you’ve solved it a few times, you can start to factor out commonalities. Early optimisation will probably just help you do the wrong thing faster.
People are always all like "Failure is how we learn".
NOTICING... NOTICING SHIT is how we learn.
Paying attention to what is happening and noticing patterns (of success, failure, or opportunities taken or missed)... is how we learn.
TODAY IS THE DAY THAT ALL OF US WHO KEPT THEIR BLOGS RUNNING ARE ONCE AGAIN THE RULERS OF THE INTERNET WELCOME BACK MY CHILDREN
following the Facebook's breakdown of the 4th October.
With software development, though, mistakes are free! If we make a mistake, we can tab back to our editor, change the code, and try again. We even have helpful error messages that can (sometimes) point us in the right direction. This is an incredible luxury, and not one that we take advantage of enough.
I should the "learn in public" philosophy as it could fit what I want to do :)
When you were born, you cried, but the whole world smiled at you.
Live a life such that when you die, the whole world cries, but you smile.
CNews/C8 continuent à nous rebattre les oreilles avec les "fraudeurs aux aides sociales". Pourtant cette fraude est négligeable face à la fraude au Fisc que pratiquent les entreprises.
Et je suis tombé sur cette citation: « Pourquoi le riche imagine toujours que le pauvre va profiter d’une faille du système ? Parce que lui, c’est ce qu’il ferait. C’est d’ailleurs le plus souvent pour cela qu’il est riche. »
(de https://sebsauvage.net/links/?fZ83FQ)
La fraude aux aides sociales est un marronnier. Ce qui est surprenant est l'absence d'informations sur la fraude fiscale, qui elle concerne des sommes d'argent d'autre autre ordre de grandeur !
En vrai, on ne résoudra jamais un problème en faisant confiance aux gens qui vivent de l’existence de ce problème.
Exact.
Néanmoins, une personne politique qui fait bien son taff sera réélue car elle aura (enfin) prouvé qu'elle réalise ce pour quoi elle a été élu.
If I can stay late for work, I can also leave early if there's no work.
Un âne dit au tigre :
— L’herbe est bleue.
Le tigre rétorque :
— Non, l’herbe est verte.
La dispute s’envenime et tous deux décident de la soumettre à l’arbitrage du lion, "le roi" de la jungle. Bien avant d’atteindre la clairière où le lion se reposait, l âne se met à crier :
— Votre Altesse, n’est-ce pas que l’herbe est bleue ?
Le lion lui répond :
— Effectivement, l’herbe est bleue.
L’âne se précipite et insiste :
— Le tigre n’est pas d’accord avec moi, il me contredit et cela m’ennuie. S’il vous plaît, punissez-le !
Le lion déclare alors :
— Le tigre sera puni de 5 ans de silence.
L’âne se met à sauter joyeusement et continue son chemin, heureux et répétant :
— L’herbe est bleue… l’herbe est bleue…
Le tigre accepte sa punition, mais demande une explication au lion :
— Votre Altesse, pourquoi m’avoir puni ? Après tout, l’herbe n’est-elle pas verte ?
Le lion lui dit :
— En effet, l’herbe est verte.
Le tigre, surpris, lui demande :
— Alors pourquoi me punissez-vous ?
Le lion lui explique :
— Cela n’a rien à voir avec la question de savoir si l’herbe est bleue ou verte. Ta punition vient du fait qu’il n’est pas possible qu’une créature courageuse et intelligente comme toi ait pu perdre son temps à discuter avec un fou et un fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions. Ne perds jamais de temps avec des arguments qui n’ont aucun sens… Il y a des gens qui, quelles que soient les preuves qu’on leur présente, ne sont pas en mesure de comprendre. Et d’autres, aveuglés par leur égo, leur haine et leur ressentiment, ne souhaiteront jamais qu’une seule chose : avoir raison même s’ils ont tort.
Or quand l’ignorance crie, l’intelligence se tait.
"La vie, ce n'est pas d'attendre que l'orage passe,
C'est d'apprendre à danser sous la pluie."
‒ Sénèque