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D'autant plus que le P2P est indépendant d'infrastructures dédiées (des serveurs tournants 24/24, refroidissiment, ...) ! Une fois connecté à Internet, tout ordinateur personnel peut effectuer du P2P ^^
Je garde l’expression d'« obscurantisme numérique ». Même si cela fait un peu vaudou, elle correspond bien à la situation actuelle. Peut être une meilleur expression à trouver, plus claire.
Remarque
le numérique n’est pas enseigné à l’école, il ne rentre pas dans notre culture et reste donc l’apanage des experts et des vendeurs de technologie. Or ces vendeurs-là ont tout intérêt à diffuser de « l’infomercial » plutôt que de l’information.
Sous le coude
Comment casser l’idée communément admise et faussement intuitive que la donnée doit être amenée et transmise à ceux qui en ont besoin ? Pourquoi les intelligences artificielles ne se déplaceraient-elles pas ? Pourquoi ne fonctionnerait-on pas avec des accès permissionnés ?
Pareil.
[...]
Son exemple du SVG est typique : qui au nom de l’univers a besoin d’une précision au milliardième de pixel pour son logo ? Personne !
[...]
Et même chose pour les framework tout fait : les 3/4 du truc ne sert à rien et ne sera jamais utilisé dans le projet… mais sera chargé tout de même.
(feed du lehollandaisvolant)
Coder tout à la main est une bonne chose. Le code est clair, propre et efficient.
Ça ne s’appellerait pas de l'artisanat (numérique) ?
RSS = direct connection to a creator.
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Podcasts are awesome cause they are inherently 'open.'
If your podcast is not accessible via RSS, you don't actually have a podcast. Or ownership.
La question :
doit-on faire des Communs depuis et avec la propriété privée ou contre et sans elle ?
Petite citation :
"Ainsi des noms propres chassent-ils les noms communs" — Michel Serres dans La guerre du propre contre le commun
Ainsi, encore dans cet article,
« Google n'a plus rien, absolument plus rien d'un moteur de recherche qui permette de transcrire la réalité du monde. La raison est connue et elle avait été détaillée dans un article scientifique célèbre, dès 1998, par deux jeunes ingénieurs. [...] »
L'article a raison, objectivement si on regarde sur le passé.
De sebsauvage :
Yep, mais il manque un truc important : la vision du futur.
Dans les années 90 le futur était prometteur. Malgré les années Mitterrand la France restait équilibrée entre droite et gauche, l'extrêle droite était marginale, les travailleurs avaient une certaine protection, la vie était belle, ... le futur était beau.
(Après je parle en tant qu'homme blanc hétéro cis hein, je sais que pour les minorités c'était une autre paire de manches).Aujourd'hui on a quoi, quand on regarde vers l'avenir ?
- L'extrême droite qui revient et qui s'installe partout, dans la tête des gens, dans les campagnes, et à la tête de nombreux pays
- La startup nation qui privatise tout, qui austérise tout, et qui fait tout pour enrichir les ultra riches en prenant aux pauvres / moyennes classes
- Le réchauffement climatique et tout ce que ça va engendrer sur le siècle qui vient
- La bêtise qui progresse (campagnes anti vaccins, naïveté politique, ...)
Baisse de pouvoir d'achat, l'impossibilité d'acheter une maison ou un grand appart sans s'endetter sur 25 ans, ...
Malheureusement, face à ça, le fait qu'on vive mieux et plus vieux qu'il y a 30 ans n'aide pas à se dire "la vie ici est géniale" car le futur est sombre. Très sombre...
Je pose ça là. Une pile d'arguments.
Alors quand je vois San Francisco — ville probablement la plus à la pointe et composée des gens les plus au fait de ces technologies — s’interdire d’utiliser la reconnaissance faciale, ça fait peut-être sourire certains mais pour moi ça veut encore dire quelque chose.
Il serait peut-être temps de se rappeler pourquoi donner trop de pouvoir à l’État est dangereux, pourquoi c’est au citoyen de contrôler son État et pas l’opposé, pourquoi la vie privée et le secret des correspondances sont essentiels à la vie démocratique.
Règle n°1 : ne pas utiliser AWS, Azure ou Google Cloud.
L'entreprise peut en plus se démarquer par son utilisation de logiciels libres, ou d'entreprises plus éthiques. C'est un argument marketing à ajouter.